Certains de nos lecteurs historiques nous ont reproché de ne pas avoir publié de photos du carnaval.
L'oubli est en effet inacceptable et la rédaction présente ses plus plates excuses.
Voici donc avec du retard :
. Paola et Martial
Sidonie et Baptiste
. Célestine, Moana et Caroline
Les trois poules
. Marin
. Marin, mamie Jojo et ..... mon épouse
mardi 31 mars 2009
Toujours plus loin
Dans sa croisade pour le renouvellement en profondeur de la langue française (et de sa grammaire), Marin a inventé un nouvel artifice linguistique : la complexification par double négation inverse.
Ainsi, pour parler de la taille des pâtes que nous avons mangées hier soir, il a avantageusement remplacé le très commun :
"C'est petit"
Par l'excellent :
"C'est gros mais non"
Les plus vifs d'entre vous me diront que c'est une simple évolution du désormais célèbre :
"Je dis non"
Ils n'auront pas tort.
Ainsi, pour parler de la taille des pâtes que nous avons mangées hier soir, il a avantageusement remplacé le très commun :
"C'est petit"
Par l'excellent :
"C'est gros mais non"
Les plus vifs d'entre vous me diront que c'est une simple évolution du désormais célèbre :
"Je dis non"
Ils n'auront pas tort.
La souffrance, la vraie.
Paola est malade, et elle veut que cela se sache.
Hier après-midi, nous partons, Marin et moi, chercher les deux grandes à l'école.
Paola est sur le canapé, sous une couverture avec une bassine à côté d'elle et Tiji en fond lumineux et sonore.
Lorsque nous revenons, Célestine rentre et demande où est Paola.
Comme elle est sensée être sur le canapé, l'adrénaline monte instantanément et j'imagine un scénario catastrophe.
En fait, elle est simplement couchée sous la table du salon.
Lorsque je lui demande ce qu'elle fabrique là, elle me répond d'une voix faible, chevrotante et plaintive :
"Je n'ai même pas la force d'aller chercher de l'eau"
J'en ai pleuré de douleur.
Hier après-midi, nous partons, Marin et moi, chercher les deux grandes à l'école.
Paola est sur le canapé, sous une couverture avec une bassine à côté d'elle et Tiji en fond lumineux et sonore.
Lorsque nous revenons, Célestine rentre et demande où est Paola.
Comme elle est sensée être sur le canapé, l'adrénaline monte instantanément et j'imagine un scénario catastrophe.
En fait, elle est simplement couchée sous la table du salon.
Lorsque je lui demande ce qu'elle fabrique là, elle me répond d'une voix faible, chevrotante et plaintive :
"Je n'ai même pas la force d'aller chercher de l'eau"
J'en ai pleuré de douleur.
vendredi 27 mars 2009
Du charme, diantre.
L'homme qui aimait le premier groupe
Chez nous, vous le savez, nous aimons la langue française.
On l'utilise, on en joue, on l'aime.
On l'aime tellement que certains d'entre nous n'hésitent pas à la faire évoluer.
Ainsi, Marin a décidé de transformer tous les verbes en verbes du premier groupe.
Cela donne :
. Ouvrer à la place d'ouvrir
. Lirer à la place de lire
. Parter à la place de partir
. Mettrer à la place de mettre.
Et dire que certains pensaient notre langue nationale sclérosée et déclinante.
On l'utilise, on en joue, on l'aime.
On l'aime tellement que certains d'entre nous n'hésitent pas à la faire évoluer.
Ainsi, Marin a décidé de transformer tous les verbes en verbes du premier groupe.
Cela donne :
. Ouvrer à la place d'ouvrir
. Lirer à la place de lire
. Parter à la place de partir
. Mettrer à la place de mettre.
Et dire que certains pensaient notre langue nationale sclérosée et déclinante.
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