Dimanche matin, à l'aube, nous lâchons les fauves.
L'odeur du chocolat excite les chasseurs et la tension monte.
Les plus expérimentés apprennent aux plus jeunes en leur faisant toucher des proies encore vivantes.
Elles sont d'ailleurs parfois dévorées sans même avoir été dépecées
La nature est cruelle et belle à la fois.
mardi 25 mars 2008
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